7 choses à savoir avant la prise d’anti-inflammatoires

Santé

Ibuprofène, diclofénac : au moins l’un de ces anti-inflammatoires se trouve dans nos armoires à pharmacie. Mais des études ne cessent de mettre en avant leurs effets indésirables et les messages de mises en garde de l’Agence du médicament se multiplient. Les précautions à prendre.

Souvent pris en automédication contre les douleurs ou la fièvre, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont pourtant des médicaments à utiliser avec précaution et rarement en première intention.

Les AINS ne soulagent pas le mal de dos

Arthrose, arthrite, sciatique, règles douloureuses, migraine, entorses, foulures, tendinites : les douleurs d’origine inflammatoire sont la première indication de ces médicaments. Toutefois en cas de lombalgie, il semble inutile de se précipiter sur la boîte d’ibuprofène : en 2017, une étude publiée par des chercheurs australiens montrait qu’il ne soulageait qu’un patient sur six. Pour les autres, le placebo faisait aussi bien.